(Temps de lecture: 7 mn)
Le mensonge jaillit comme un rot qu’on ne peut réprimer :
— Elle est morte… La semaine dernière.
J’avais mis ma main devant la bouche, mais les mots m’avaient filé entre les doigts. C’était insensé : ces phrases, que j’avais prononcées, je ne les avais pas voulues, comme si elles étaient nées de rien, puis s’étaient échappées. Continuer à lire … « « La liberté du ventre » : une nouvelle de Véronique Baret »